La zone des niayes, fief par excellences des cultures maraîchères, est confrontée à une mévente des produits horticoles. A Diogo, un jeune producteur a fait un récente bouleversant, car il est sur le point de perdre tout son investissement, qu’il avait emprunté auprès d’une banque de la place. Et paradoxalement note Vieux Bâ, il s’agit de jeunes qui ont tourné le dos à l’émigration clandestine et qui ont accepté de s’investir dans l’agriculture comme le recommandent l’Etat et le Président de la République. Mais malheureusement, après tant d’efforts fournis, qui ont occasion une bonne production, il y a une mévente totale
Tout en phase avec vous. Les agriculteurs, en particulier les maraîchers , ne sont pas bien encadrés . Il manque une politique d’accès aux financements et l’écoulement de la production. L’état doit être le partenaire des producteurs. Comment pouvons nous importer des légumes qu’on produits et ne peuvent même pas écouler ? Il ne s agit d’interdire l importation mais de fixer un quota d’importation. Mais il faut reconnaître que nos producteurs locaux ont une part de responsabilité car ils n’hesitent pas à demander des prix trop élevés quand il y’a une pénurie. Il faudrait que l État négocie une fourchette de prix. Du courage les jeunes, aller clandestinement en Europe n’est pas la solution même si on échappe aux conditions de la traversée . L’Europe devient de plus en plus hostile à l’immigration en partie à cause des difficultés aggravées par le Covid-19.